Danger : rupture de médicaments à l’Hôpital psychiatrique de Thiaroye

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Au lendemain de la célébration de la Journée Mondiale de la Santé Mentale dont la cérémonie, au Sénégal, s’est tenue à l’Hôpital psychiatrique de Thiaroye, ce jeudi 10 octobre 2019, le Président de l’Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM), lance une véritable alerte par rapport à un danger réel auquel est exposé le peuple sénégalais. Selon Ansoumana DIONE, ladite structure sanitaire manque de médicaments, notamment, au niveau du Service d’Accueil des Urgences (SAU), qui ne dispose même pas de Seringue, de Valium, Largactil, Nozinan, des produits indispensables pour la stabilisation des malades mentaux agités  Conséquence, les parents, après avoir payé le ticket à 5000 francs CFA, sont obligés de parcourir les pharmacies, parfois; en vain, ce qui met en danger le personnel, généralement, sans défense. Et, au lieu d’y apporter des solutions, le chef de la Division de la Santé Mentale, le Docteur Augustin TINE, a préféré livrer de fausses informations, en déclarant face à la presse, l’existence de 14 services de psychiatrie, introuvables au Sénégal. En tout cas,, Ansoumana DIONE prévient : « si le Président Macky SALL n’intervient pas très vite, le pire va se produire au Sénégal, avec ce problème des malades mentaux, plus grave qu’une bombe à destruction massive ».
Rufisque, le 11 octobre 2019,
Ansoumana DIONE, Président de l’Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM)
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Meurtre au poste de santé d’Arafat : And Gueusseum réclame justice et sécurité

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A la suite de l’assassinat de l’infirmier-chef Mamadou Samba Diallo lors d’une attaque à main armée perpétrée par des individus non identifiés dans le poste de santé d’Arafat, dans le district sanitaire de Koungheul, le bureau exécutif régional du syndicat And Gueusseum a décidé de cesser toutes les activités à partir de 9h, tout en maintenant les urgences et le service minimum.

Narcisse Gomis, secrétaire général régional du syndicat, a fermement condamné cet « acte de barbarie » et exigé que les auteurs soient traqués et punis. « Nous réclamons plus de sécurité dans les lieux de travail », a-t-il déclaré dans des propos repris par Seneweb.

Tout en exprimant ses prières pour le repos de l’âme de leur collègue. Un point de presse est prévu dans les heures à venir pour préciser leurs revendications.

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