El Malick Ndiaye : « Aucun report n’est ni possible ni envisageable »

El Malick Ndiaye, le ministre, secrétaire national à la communication de Pastef
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Depuis le vote majoritaire à l’Assemblée nationale pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire visant le Conseil constitutionnel, il y a des spéculations concernant un possible report de la Présidentielle. Pour El Malick Ndiaye, l’élection aura bien lieu le 25 février prochain car Macky Sall ne peut risquer de semer le chaos avant son départ.

« Restons focus sur la campagne de notre cheval gagnant. Le président Macky Sall ne cautionnera aucun report. Aucun report n’est ni possible ni envisageable. Il ne fera pas un jour de plus car comme il l’a si bien dit dans cet extrait, ça pourrait mener le pays vers le chaos. Il n’acceptera pas de partir avec ce passif derrière », a-t-il écrit sur X, publiant une vidéo de Macky Sall datant de plusieurs années, où l’actuel président explique les dangers liés à un report d’une élection présidentielle.

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Daouda Mine sur l’affaire Mame Mbaye : «Sonko a perdu et il a perdu définitivement»

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Après le rejet de son rabat d’arrêt par la Cour suprême, Ousmane Sonko a affirmé sa volonté de rouvrir son dossier contre Mame Mbaye Niang. Depuis, plusieurs spécialistes épluchent et expliquent les textes pour voir les conditions dans lesquelles Ousmane Sonko pourrait obtenir une révision de son procès. Cependant, selon Daouda Mine, il n’y a plus d’échappatoire pour le leader de Pastef.

Sur l’émission « Ultimatum » de Seneweb, le journaliste, spécialiste des questions judiciaires, pense que le Premier ministre a définitivement perdu sa bataille contre l’ancien ministre du Tourisme. « Honnêtement, la vérité, c’est que l’affaire Mame Mbaye Niang – Ousmane Sonko est définitivement bouclée. Ousmane Sonko a perdu et il a perdu définitivement », a tranché Daouda Mine.

Le journaliste met en avant l’autorité de la chose jugée, bien qu’il considère que la condamnation en appel de 6 mois de prison avec sursis ne peut empêcher Ousmane Sonko d’être élu. Néanmoins, il y aura une autre conséquence pour le leader de Pastef, le paiement des 200 millions Fcfa. « Toutes les voies de recours ont été épuisées par Sonko. Les 6 mois de sursis, il les a purgés avec la loi d’amnistie. Ca ne peut l’empêcher de participer à des élections, mais il devra payer les 200 millions Fcfa de dommages et intérêts. La loi d’amnistie ne préjudicie pas aux droits des tiers », conclut Daouda Mine.

 

 

Source : Seneweb

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