Propos sur l’Islam : Le Khalife de Médina Baye répond à Macron…

Le Khalife de Médina Baye, Cheikh Mouhamadoul Mahi Niasse
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Le Président français Emmanuel Macron est monté au créneau, il y a quelques jours, pour demander des réformes dans l’Islam. Accueillant des disciples qui étaient venus renouveler leur acte d’allégeance, le khalife général de Médina Baye, Cheikh Mahi Niasse, a affirmé que le Président français est très ambigu concernant l’islam, rapporte L’AS dans sa parution de ce mardi.

Sans concession, le nouveau khalife de Médina Baye, connu pour sa vaste culture et son ouverture au monde, a estimé même que ce dernier est un pourfendeur de la religion musulmane. Mais, le marabout estime que c’est peine perdue pour lui et les Présidents comme lui parce qu’ils ne peuvent pas prévoir les ruses de Dieu.

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Crise à « Sud Quotidien » : Une plainte déposée et un préavis de grève brandi par le personnel

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Le torchon brûle au sein du journal « Sud Quotidien ». Le personnel, excédé par une situation financière devenue insoutenable, a décidé de passer à la vitesse supérieure. Ce lundi, les travailleurs du groupe ont annoncé le dépôt d’une plainte suivi d’un préavis de grève, dénonçant plusieurs mois d’impayés de salaires et une gestion qu’ils qualifient de « catastrophique ».

Selon la section SYNPICS (Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal) de Sud Communication et le collège des délégués du personnel, quatre mois d’arriérés de salaire sont toujours impayés, plongeant de nombreux employés dans une précarité financière alarmante.

Dans leur déclaration, ils pointent directement du doigt l’administrateur Vieux Savané et la directrice de publication Henriette Niang Kandé, tous deux désignés comme étant à l’origine de la crise. « Ils continuent à percevoir des salaires, alors qu’ils devraient être à la retraite depuis plusieurs années », dénoncent les travailleurs, qui fustigent également des nominations opérées en dehors de tout cadre légal.

Face à cette situation, les revendications sont claires : le paiement immédiat des salaires dus, avec pénalités pour les retards, le départ sans délai des deux responsables actuels et la nomination de nouveaux responsables à travers une promotion interne, pour une gestion plus saine et équitable.

Déterminé à se faire entendre, le personnel annonce qu’en l’absence de réponse concrète à leurs doléances à la fin du préavis, une grève sera déclenchée sans autre forme de procès. Le syndicat prévient que « la responsabilité de ce conflit social incombera entièrement à la direction ».

Le malaise couvait depuis plusieurs mois. Aujourd’hui, il éclate au grand jour, menaçant l’avenir de l’un des plus anciens et emblématiques journaux du paysage médiatique sénégalais.

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