Pastef au pouvoir contre Pastef hors pouvoir (Par Papa Cissé)
LA RÉALITÉ DU POUVOIR n’est donc pas un conte mais une épreuve qui finit par mettre à nu les limites d’un arriviste.
Si le concept des 3J est bien mis en marche, ce parti continuera de souffrir du fait de sa vraie nature, bonne à combattre un régime mais pécheresse dans la gestion d’un État.
L’affaire “Azora” a révélé chez PASTEEF, une dichotomie, d’idéologies mais aussi une multitude de compréhensions même sur le véritable sens du Projet.
Un mot qui traîne des maux et des perceptions.
MAUX : Parce qu’ayant coûté à des pertes en vies humaines et matérielles.
PERCEPTIONS: Parce que me semble t’il, chez plusieurs d’entre ses membres, le fameux projet a été uniquement de porter un nom à la tête du pays, sans même se soucier des capacités ou limites de celui-ci.
D’autres y projettent une opportunité de vengeance contre le régime précédent.
Un groupuscule intellectuel qui pense un PROJET capable de bâtir d’abord leur projet à eux et peut être le Sénégal.
Existent à l’opposé de tous ces cités, un nombre infime de véritables patriotes.
Dans cette marmite contraste, s’agitent des ouvriers du projet, les fantassins, à côté d’un groupuscule soi-disant intellectuel se partageant les opportunités.
Une véritable bombe à retardement, jadis accélérée par les réalités du pouvoir.
Papa Cissé